Pour cette 2e soirée de la rentrée du Club, nous poursuivons nos échanges sur le thème :
« Impact de la COVID 19 sur l’organisation actuelle et future de votre organisme »

Le mois dernier nous avions eu
Christian BOURGUELLE, qui avait remplacé au pied levé Yves CORRIOU (AGIRC – ARRCO) et Isabelle DOAL (CNAF).
Ce soir nous avons au moins deux interventions prévues avec Bruno LATOMBE et Yannick GIRAULT pour le ministère des finances.

En plus des membres, nous avons invité Véronique de la BACHELERIE (du groupe Société Générale) afin qu’elle connaisse un peu mieux notre Club avant d’intervenir pour le dîner du mercredi 18 novembre.

Les inscriptions se font par retour d’email ou de l’invitation agenda adressée par le secrétariat du Club.

Les demandes d’invitation se font via le formulaire contact disponible sur le site.

Les confirmations sont effectives 8j avant pour la bonne organisation de nos évènements.

Merci de votre compréhension !

Le club MOA-TN donnera la parole à Isabelle DOAL de la CNAF, pour faire un zoom sur quelques uns des nombreux défis à relever dans le cadre de la transformation numérique de la CNAF.

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Participation réservée aux membres, ou sur invitation via le formulaire en ligne.

Le club MOA-TN donnera la parole à Jean-Baptiste COUROUBLE, DSI de l’ACOSS, pour faire un zoom sur quelques uns des nombreux défis à relever dans le cadre de la transformation numérique de l’ACOSS

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Participation réservée aux membres, ou sur invitation via le formulaire en ligne.

Le club MOA-TN donnera la parole à Michael FUMERY, Directeur de programme, transformation digitale de la Gendarmerie. Profondément ancrée dans la modernité, la gendarmerie ne cesse de se questionner pour évoluer, s’adapter et être en mesure d’apporter une réponse innovante aux besoins des citoyens et des autorités.

La Gendarmerie nationale est depuis de nombreuses années considérée comme un exemple remarquable au sein de l’Administration s’agissant de sa stratégie numérique et des projets menés.

Visant un haut niveau d’efficience et de sécurité en étant très attentive à la satisfaction du besoin métier, la Gendarmerie s’est profondément transformée avec par exemple NEO (*): est un projet qui permet de fournir aux policiers et aux gendarmes français des terminaux mobiles dotés d’une connexion sécurisée haut débit. Il s’appuie sur une version d’Android développée par l’agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) avec l’appui du service des technologies et des systèmes d’information de la sécurité intérieure (ST[SI]²).

(*) Le terme NEO signifie nouvel équipement opérationnel. La gendarmerie utilise l’acronyme NeoGend pour désigner ce terminal. Source Wikipedia.

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Participation réservée aux membres, ou sur invitation via le formulaire en ligne.

Le CLUB MOA-TN recevra Guillaume HARRY de la Direction interministérielle du numérique (DINUM) pour parler de l’Identité numérique.

L’identité numérique est au cœur de la relation avec les utilisateurs.

La fédération d’identité est un moyen de simplifier et sécuriser à la fois la gestion technique des utilisateurs dans le systèmes d’information mais également leur authentification.

Guillaume HARRY présentera une réponse à ces défis avec FranceConnect, le système de fédération d’identité de l’Etat, et nous proposera d’échanger autour des principes et de la mise œuvre pour les utilisateurs internes à une organisation.

Le lundi 4 novembre nous donnerons la parole à Yannick GIRAULT pour un retour d’expérience sur la mise en œuvre des assistants digitaux à la DGFIP.

La Robotic Process Automation, ou RPA, est une forme d’automatisation des tâches destinée aux métiers à forte dimension administrative. Elle consiste à confier à des assistants virtuels des tâches répétitives, auparavant réalisées de manière manuelle. Les bots sont capables de se connecter aux applications, de saisir et de recopier des données, d’effectuer des contrôles simples ou encore de traiter des emails. Ils permettent ainsi d’accélérer bon nombre de processus numériques, parfois de manière considérable.

Quelques éléments essentiels sur la RPA sont collectés dans un document téléchargeable sur le site (https://club-transfo-num.fr/wp-content/uploads/2019/11/20191114-RPA-documentation.pdf).

La fin de cet article comporte notamment un commentaire d’Aurélie CHANDEZE à propos du rapport du Forum Économique Mondial qui traite de l’évolution des tâches administratives (https://club-transfo-num.fr/wp-content/uploads/2019/11/20180917-WEF-Future_of_Jobs.pdf).

Participation accessible aux membres (ou sur invitation), dans la limite des places disponibles.

Retour d’expérience 2016-2019 par Axelle Barrau, Adjointe au Sous-Directeur à la Planification et à la Stratégie

Pour la soirée de rentrée, le Club vous propose un retour d’expérience sur la mise en place d’une Unité d’appui à la Transformation (UA3P, Unité d’Appui aux Projets, Programmes et Portefeuilles) à la Direction des Services de la Navigation Aérienne.

Comme nombre d’organisations, dans un environnement soumis à de fortes contraintes (effectifs, activités opérationnelles, systèmes vieillissants), la DSNA se voit obligée de mener des transformations de plus en plus importantes, tout en maintenant le niveau de service de son activité opérationnelle de contrôle de la navigation aérienne. Ainsi, à fin 2015 la DSNA a décidé de mettre en place cette unité dans l’objectif d’augmenter la maîtrise et la réussite des grandes transformations en cours et à venir (budget d’investissement annuel ~300M€).

Axelle Barrau, administratrice civile, a pris la responsabilité de mettre en place et de diriger cette unité. Après la définition d’un business case en 2016 qui fixe les objectifs et les moyens, et une période d’analyse du patrimoine existant et de mise en place, l’UA3P a lancé ses activités sur trois axes parallèles : mettre en place sur deux ans un langage commun (méthodes), le déployer par les formations et des certifications depuis le top management jusqu’aux pilotes des transformations sur le terrain pour avancer autant sur les aspects organisationnels que sur le plan culturel (appréhension et management des transformations)… puis progressivement, tester sur quelques interventions au niveau du terrain, et déployer à partir de 2019.

Ce retour d’expérience promet d’être passionnant !

Merci de réserver rapidement auprès du secrétariat du club car les places sont limitées afin de favoriser des échanges de qualité. Invitation possible sur demande adressée via la page contact.

Le Club vous souhaite un bel été et vous donne rendez-vous le 9 septembre pour son dîner-débat de rentrée.

Le 3 juin 2019, le CLUB MOA recevra Jérôme JOIE, Directeur des Etudes net.entreprises.fr au GIP-MDS. Il présentera la DSN.

Instaurée par la loi du 22 mars 2012, la Déclaration Sociale Nominative est généralisée depuis 2017 à l’ensemble des entreprises du secteur privé (1,8 millions d’entreprise).

Initialement conçue pour simplifier les démarches déclaratives des entreprises, la DSN s’est imposée depuis comme un support incontournable à la mise en œuvre de réformes ambitieuses et à forte visibilité comme le Prélèvement A la Source de l’impôt sur les revenus (opérationnel depuis le 1er janvier 2019) ou la réforme des allocations logements dont la mise en œuvre est prévue en fin 2019.

Sept années auront donc été nécessaire pour transformer un projet, à l’origine exclusivement orientée dans une perspective de modernisation des échanges entre les entreprises et les organismes de protection sociale, en un véritable programme ouvrant des perspectives de réformes stratégiques impactant les administrations, les citoyens ou encore l’Etat.

Comment la DSN s’est-elle imposée? De quelle manière son déploiement progressif a autorisé une acceptation par l’ensemble des acteurs ? Quels actions et arguments ont été nécessaires pour sécuriser son fonctionnement ? Quelles ont été les modalités de pilotage de ce programme faisant intervenir de nombreux acteurs aux intérêts parfois divergents ?

Autant de questions à adresser afin de déterminer, comprendre et mettre en valeur, les conditions de réussite de cet ambitieux programme, qui s’est appuyé sur des fondamentaux de la construction du système d’information : des donneurs d’ordre décidant au fur et à mesure, une maitrise d’ouvrage opérationnelle structurée, une association de tous les acteurs concernés, un partage large de la connaissance des données et des règles de gestion, une qualification fonctionnelle exigeante en sont quelques exemples…

À l’heure où l’on reproche aux algorithmes d’être des « boîtes noires », Parcours sup, système d’admission des futurs bacheliers dans l’enseignement supérieur qui a remplacé APB, mise sur la transparence. Son code source a en effet été rendu public le 21 mai 2018, juste avant son entrée en fonctionnement le 22 mai au soir…

le changement d’algorithme a été demandé par la CNIL en septembre 2017. APB était mis en cause par son manque de transparence, ainsi que le fait que « s’agissant des formations non sélectives, l’algorithme détermine automatiquement, sans intervention humaine, les propositions d’affectation faites aux candidats », et ce sans que les candidats puissent obtenir d’informations précises quant à son fonctionnement. C’est pour résoudre ces problèmes qu’est née la nouvelle plate-forme, baptisée « Parcoursup » et prévue par la loi « Orientation et réussite des étudiants » (ORE).

Comment fonctionne « Parcoursup » et en quoi diffère-t-il d’APB ?

Claire Mathieu (informaticienne, mathématicienne et professeure au Collège de France), conceptrice de cet algorithme nous en livrera un décryptage.

Conformément au calendrier d’activité, l’assemblée générale annuelle aura lieu le 8 avril 2019.

La participation est réservée aux membres.