innovation illustration

S’entraîner à penser le futur…

Le rôle de l’homme dans l’émergence des conditions de vie collective en 2050 – Repenser l’organisation humaine

Vaste programme pour le séminaire annuel du Club qui s’est déroulé le 30 juin et s’est poursuivi par un diner/débat le 3 juillet 2017…

Logo UNESCO

Le vendredi 30 juin, toute la journée, le club MOA a organisé un séminaire animé par Riel MILLER qui est directeur de la prospective à l’UNESCO, sur le thème général : “Osons penser le futur”. Des membres de l’UNESCO ont participé à ce séminaire et ont travaillé avec les membres du Club MOA. Le diner/débat du 3 juillet, également animé par Riel MILLER, en a été la conclusion.

Tout au long de ce travail, les participants ont été accompagnés par un graphiste (Michel DIAMENT) qui a transcrit sous forme de dessins les idées et les concepts évoqués et traités durant ces deux rencontres.

Les participants ont formé trois groupes qui ont travaillé séparément sur des thèmes identiques. Le déroulé de la journée a alterné les moments de travail en groupe et les moments de restitution en commun.

Il est difficile, voire impossible, de relater de façon synthétique la diversité des idées, des thématiques, des propos étudiés et commentés. Cependant, le texte ci-dessous reprend la démarche pilotée par Riel MILLER tout au long de la journée et suivie par les participants et permet de se faire une idée de la démarche proposée.

Journée du vendredi 30 Juin à l’UNESCO

Introduction

Les « Futures Literacy Laboratories (FLL) » réunissent des personnes qui vont se livrer, via une intelligence collective, à une création de connaissances en utilisant le futur. Cette approche permet aux participants d’analyser de différentes façons l’utilisation du futur pour comprendre le présent. Ces Laboratoires ne sont qu’une méthode pour décrire le monde, passé, présent ou futur.

Il y a beaucoup de façons de décrire le monde, de raconter des histoires, d’analyser les statistiques, d’examiner des photos et de construire des modèles de prévisions. Un FLL utilise une approche, qui amène un groupe à négocier et à partager un sens, une vision. Ce type de processus de création de connaissances, au moyen d’une intelligence collective, quelquefois appelé le « microscope du 21ème siècle » utilise la « courbe d’apprentissage », classique ou une approche via le cycle d’apprentissage. Les personnes transforment leurs connaissances tacites en propositions explicites, qui, quand elles sont partagées au sein d’un groupe fournissent une façon pratique de détecter et comprendre un thème particulier dans un contexte spécifique.

Le présent laboratoire s’intéresse au rôle des personnes dans l’émergence des conditions collectives relatives à l’organisation des sociétés humaines dans le monde.

Les processus déployés dans cet atelier tirent parti de la recherche récente et de l’expérimentation par, l’UNESCO, de la conception et l’exécution du processus de création de connaissances au moyen de l’intelligence collective en utilisant le futur.

Les objectifs de ce FLL sont :

  • Développer la capacité des participants à utiliser le futur en prenant en compte des systèmes d’anticipation et traiter ainsi la perspective obtenue, avec plus de précisions et d’aspects concrets.
  • Produire de nouvelles possibilités sur les attributs et le rôle des personnes dans l’apparition des conditions collectives d’existence.

Quelques indications sur le thème : Le rôle des individus dans l’émergence des “conditions collectives de vie” en 2050

Imaginer le futur exige des postulats, comme le soleil continuera à briller. Le problème avec la prospective est que les mots et les conditions qui existeront dans l’avenir sont par définition inconnus. Tout ce que nous pouvons faire est d’utiliser nos imaginations, évoquer des images, le tout sans certitude. Fondamentalement l’avenir existe seulement dans le présent comme l’anticipation.

Cela signifie que quand nous essayons d’imaginer le futur il est important de reconnaître que les hypothèses d’anticipation que nous faisons, comme

  • les monarques continueront à régner ou,
  • la démocratie représentative prédominera ou,
  • les entreprises « modernes » resteront la forme dominante d’organisation pour produire les biens,

peuvent ne pas être vraies et entraver ainsi nos imaginations.

Avec ce danger en tête le thème de ce FLL a été formulé pour éviter certaines contraintes liées à l’imagination des participants.

Le thème retenu est : le « management » ou les « systèmes de prise de décision », qui exercent le pouvoir dans les organisations comme les compagnies privées ou les entreprises publiques. Mais des termes tels que bureaucratie, administration, planification, direction et contrôle, sont tous spécifiques d’une période particulière de l’histoire humaine. Envisager demain, sur la base de ces mots, limite ce qui peut être imaginé.

Prenant un peu de recul, sur ces sujets particuliers constatons que les décisions prises ont modelé le monde d’aujourd’hui et également ce que dissimule les termes tels que « Management »

Le thème qui doit être au centre de notre « rêverie » d’intelligence collective dans ce Laboratoire est : comment les humains dans l’avenir, disons 2050, influencent consciemment le très large éventail de conditions collectives dans lesquelles nous vivons.

Le libre arbitre et le rôle critique de la capacité des gens à exercer leur liberté, au-dessus et au-delà des faits, aboutissent à une organisation de la société, c’est-à-dire notre capacité de percevoir et d’agir. Les conditions collectives se définissent également dans une perspective globale qui inclut non seulement ce que les personnes décident de transmettre selon certaines conditions et qui peuvent se répéter mais aussi la vaste gamme d’expériences et les contextes apparemment sans rapport de continuité et de discontinuité qui nous entourent, même si ils sont souvent invisibles.

Conçu de cette façon le thème général est d’imaginer comment la perception humaine consciente et l’action contribuent à une création continuelle – caractérisée par la répétition et la différence, l’habitude et la nouveauté – du présent. Une telle conscience et un choix peuvent ou ne peuvent pas être entravés par les formes d’organisation des nations, des gouvernements, des sociétés, des écoles, des hôpitaux, des familles, etc. La tâche dans cet atelier est de développer l’imaginable en se livrant à un processus structuré, point par point : Action de recherche / Action d’apprentissage. Le processus exploite l’intelligence collective des participants.

Le design du FLL

FLL est un processus de création de connaissances ouvert et collectif qui s’articule en trois phases :

Digital futur illustration

Dans la première phase on demande aux participants leurs prédictions et leurs espoirs concernant le futur rôle de l’’humanité dans l’apparition des conditions collectives de vie en 2050. Les prédictions concernent ce qui surviendra probablement selon le participant. – un instantané de ce que voit la personne comme le résultat le plus probable en 2050. Il ne faut pas s’inquiéter du processus qui a conduit à ce résultat, il faut se concentrer sur ce que sera la situation la plus probable en 2050. Les espoirs dépendent des valeurs de chacun. Par exemple préférera-t-on un avenir dans lequel le rôle de l’humanité ramène nos conditions collectives à un état précédent ou désire-t-on autre chose ? Le participant s’attachera à la franchise et à ce que cela implique pour la société dans laquelle nous vivons ?

Dans la deuxième phase on séparera les avenirs probables et désirables pour explorer des futurs discontinus – Les imaginations doivent se libérer des contraintes liées à la probabilité des résultats ou exprimer la version actuelle d’une utopie. Dans cette phase le participant utilise des outils de recomposition, des modèles imaginaires et des variables qui peuvent être utilisées pour décrire une approche fondamentalement différente des organisations humaines ou du rôle explicite des personnes dans la construction de la société. C’est la partie raide de la courbe d’apprentissage quand la personne et ses collègues, collaborant dans les groupes de travail d’imagination, sont conduits à utiliser une nouvelle palette de couleurs et de « pinceaux » pour réaliser un dessin détaillé des paradigmes des différents futurs.

Finalement, la troisième phase de cet atelier d’investigation du futur présente deux aspects :

1.Evaluer comment les hypothèses d’anticipation influencent notre compréhension du présent ou comment les images spécifiques de l’avenir influencent différents aspects significatifs ou invisibles du présent.

2.Améliorer la compréhension et la réalisation de qui se produit sur la terre, dans le monde entier, en ce qui concerne le rôle de l’humanité dans l’apparition de nos conditions collectives – Pouvons-nous réexaminer la façon dont nous comprenons l’organisation des sociétés ?

Quelques mots à propos de la complexité…

Avant de se lancer dans une discussion des termes spécifiques et des contextes de ce thème il est important de donner quelques informations complémentaires à propos de la complexité et du changement.

Si la discussion part d’un ensemble de paramètres pour comprendre la continuité et le changement, la conservation et la transformation, alors les attributs des structures sociales ou notre rôle dans l’émergence des conditions collectives sont circonscris par ces paramètres. En d’autres termes les modèles de changement sont déjà limités par la capacité du cadre initial à rechercher et comprendre l’inconnu – ou la nouveauté complexe.

“Je veux affirmer que presque toutes les questions sur lesquelles nous avons travaillé dans cette pièce sont des questions d’incertitude. Un résultat franchement simple de ne pas avoir assez de connaissance. Faire face à ce genre d’incertitude, nous amène à acquérir plus de connaissances et à convertir l’incertitude en risque, qui est ce que les êtres humains ont fait pendant une longue période. D’autres questions liées à l’incertitude, cependant, émanent des aspects non-ergodique des systèmes sur lesquels nous nous sommes penchés. C’est-à-dire, les systèmes auxquels nous nous intéressons résident dans un monde de changement continu, dans beaucoup de dimensions — pas seulement du point de vue du changement physique, mais aussi dans la structure sociale et le comportement des personnes. En outre, pour rendre nos vies encore plus difficiles, toute la théorie construite en ‘économie, au moins toute la théorie qui est bien développée, est une théorie statique. Si on regarde la théorie néoclassique des prix ou ses dérivés, on s’aperçoit que l’ensemble concerne des théories statiques. Cependant, toutes les questions importantes auxquelles nous nous intéressons ici concernent un monde dynamique, dans lequel le changement est continu.”

Douglass C. North2, “Dealing with a Non-Ergodic World: Institutional Economics, Property Rights, and the Global Environment”, Duke Environmental Law & Policy Forum, Number 1, Volume X, 1999

Au début de cet atelier il est important de souligner la difficulté d’intégrer la complexité qui évolue en permanence, (pleine de différences et de répétitions), dans la réflexion. Comme le montre Douglas C. NORTH, notre tendance est à la réflexion fermée, basée sur la supposition que le monde est ergodique et statique.

Cela pose le défi suivant : Comment comprendre, détecter et pressentir les organisations humaines dans un monde non-ergodique et dynamique.

C’est pourquoi une des premières étapes dans la mise en œuvre de cet atelier est, au risque d’entraver l’observation d’attirer l’attention sur :

  • a) l’extrapolation (utiliser le passé pour prédire l’avenir),
  • b) la planification pour un “bon” avenir et/ou éviter “de mauvais” avenirs (accent mis sur la colonisation de demain)
  • c) une fixation de ce qu’il faut « casser » pour préserver et/ou améliorer des systèmes existants (la réforme endogène).

Le problème n’est pas l’utilité intrinsèque ou le mérite de chacun de ces modes naturels à développer la capacité humaine à utiliser consciemment le futur pour voir et faire dans le présent. Le problème apparaît parce que ces façons d’utiliser l’avenir rendent plus difficile la découverte et l’invention du non-ergodique. En d’autres termes il est essentiel d’élargir les voies dans notre vision du futur pour intégrer la complexité dans nos perceptions et nos choix.

[…]

A l’issue de cette journée de travail en commun, l’ensemble des participants s’est montré enthousiaste. Cette approche de la prospective, très inhabituelle, qui oblige à un effort d’imagination et de réflexion important a été très appréciée. Certains membres du CLUB ont d’ailleurs utilisé rapidement des termes et des approches indiqués par Riel MILLER lors de réunions internes à leur entreprise.

Diner du 3 juillet 2017

Après être revenu rapidement sur la journée du séminaire Riel MILLER a présenté les aspects plus méthodologiques de la démarche.

Introduction

En introduction de son propose, Riel MILLER cite Gaston BERGER, « Le but de l’avenir est de perturber le présent ». Cette courte phrase résume à elle seule l’idée force de la démarche de Riel MILLER. Notre idée du futur cache notre réalité. Pour rendre compte de cela il faut étudier la façon dont nous construisons le futur.

L’idée qu’on ne peut pas connaître le futur est claire, et pourtant des personnes cherchent encore à le prédire, mais en réalité personne ne sait ce que l’avenir réserve. On ne connaît pas le futur, on ne peut que l’anticiper.
Le concept de base est l’utilisation du futur. Utilisons ce que l’on dit au sujet de l’avenir dans le but de refaçonner ce que l’on dit dans le présent.

« Transformer le futur » a pour but d’illustrer le fait que nous changeons la façon dont nous pensons le futur et que cela changera la construction même de ce futur.

En quelques slides il balaie les 3 derniers siècles montrant les successions des « âges d’or » et des récessions sans que les hommes et les sociétés ne puissent les prévoir, voire les comprendre.
Exemple : Après 1780, la population de la Grande-Bretagne a presque triplé. Le revenu moyen de la population a plus que doublé, la part de l’agriculture est tombée d’un peu moins de la moitié à un peu moins d’un cinquième de la production de la nation et la fabrication de textiles et de fer s’est déplacée vers des usines dont la force motrice est la vapeur. Les événements étaient tellement étranges qu’ils étaient totalement imprévisibles, et pendant qu’ils survenaient, ils n’étaient pas compris

LIS (Learning Intensive Society)

Riel MILLER aborde ensuite l’idée de LIS (Learning Intensive Society) : La société d’apprentissage intensif.

Le changement sociétal implique un changement de composition dans le poids des différentes sources de création de richesse. L’intensité moyenne d’apprentissage au cours de l’activité quotidienne, à l’échelon de la société représente une des sources de création de richesse. La question qui vient alors naturellement est : « Qu’est-ce qu’une société plus intensive en apprentissage ? ».

Riel MILLER définit ainsi cette société :
La vie est plus intense si, dans la vie quotidienne, on apprend:

  • Plus de savoir-faire,
  • A mieux connaître les personnes,
  • Plus de connaissances,
  • Pourquoi on fait les choses.

Plusieurs courbes et graphiques sont alors présentés replaçant ces préceptes dans un cadre historique. Il déplace ensuite cette idée sur le plan de l’économie et de la production, avec cette conclusion : les transformations économiques systémiques changent ce que nous produisons et comment nous le produisons

Murmuration

(Note : la traduction littérale de ce mot est « chuchotement ». Riel MILLER utilise cette métaphore pour décrire des flux de création imprévisibles, inorganisés et parfois très denses.)

Riel MILLER développe ensuite une autre idée : qu’il exprime ainsi : « Les nuages de création de valeur transforment les fondements organisationnels »

Il prend pour image les nuages d’étourneaux en vol qui se déforment sans loi précise ou évidente. « Imaginez des nuages de flux de création unique, de collaboration et d’expérience locale et globale par des communautés dynamiques multiples et sans hiérarchie ». Il utilise le terme de « Murmuration » pour nommer cette approche, avec cette idée sous-jacente « Quelle identité, pour chacun lorsque nous avons la capacité d’être libre ?»

L’évolution d’une société industrielle vers une société d’apprentissage intensif engendre de nombreuses questions liées à la richesse, la gouvernance, le capital physique et humain, le droit de propriété, la qualité de vie, les valeurs partagées telles que la confiance dans les transactions, etc.

Le changement systémique

C’est le changement dans les conditions de changement. Il déterminer les hypothèses d’anticipation. L’élargissement du nombre de diplômés universitaires n’augmente pas la richesse ni n’entraîne un avantage compétitif

  • A. La source prépondérante de richesse n’est plus industrielle (tangible ou intangible).
  • B. La principale source de productivité est l’apprentissage par la pratique, c’est-à-dire une expérience qui permet de mieux se connaître
  • C. La création unique est locale, les idées sont globales et les biens tangibles sont bon marché

Il faut donc utiliser une vision du futur pour réfléchir aux changements systémiques et réformer ou modifier sa propre stratégie par rapport aux systèmes existants.

Réflexions sur le futur

futures literacy laboratory

Trois façons d’aborder la question.

  • A. La perspective des systèmes futurs distingue différents types d’avenir. C’est une anticipation des systèmes et des processus qui s’exprime de façon consciente ou inconsciente par des feedback et des conjectures.
  • B. Trois types distincts d’avenir et les différentes méthodes qui sont liées à chacun: contingenté, optimisé, romancé.
  • C. Les FLL (Futures literacy laboratories) : C’est un processus d’apprentissage par l’action qui utilise l’intelligence collective pour découvrir et inventer des connaissances spécifiques – C’est un processus de « recherche-action » pour la découverte, le recadrage et l’interrogation des hypothèses formulées au sujet de l’avenir.
    Création de connaissances rigoureuses: La méthode scientifique appliquée à l’unicité de l’avenir dans le présent s’appuyant sur la capacité narrative des personnes, l’intelligence collective du groupe et la capacité à recadrer les hypothèses.
    Riel MILLER indique que les inventions, les évolutions, l’imagination peuvent faire sens que longtemps après leur découverte. Il prend l’exemple du microscope À la fin du 17ème siècle, Anton van Leeuwenhoek a découvert des bactéries.
    Les microscopes qu’il a inventés ont révélé des mondes invisibles. Mais il a fallu deux siècles pour donner un sens à cette découverte.

Conclusion

La démarche proposée par Riel MILLER cherche à aider les personnes dans leur appréhension du futur : Distinguer la recherche et le choix, la continuité et la discontinuité

Le schéma ci-après éclaire parfaitement la problématique.

[…]

Le problème avec le futur

La réflexion sur le futur renforce la peur liée à l’incertitude. Cette réflexion est souvent entachée de préjugés associés au chemin de réflexion utilisé. D’autres concepts viennent « perturber » la sérénité de la réflexion tels que le « fétichisme de l’immortalité » ou la préoccupation de l’amélioration continue des systèmes existants (réforme !). Ajoutons que la temporalité du changement est également en cause : recherche d’une permission de ne pas prévoir et d’une grande difficulté à libérer l’imagination

Pourquoi?

Les méthodes de prospective sont principalement limitées à une seule vision de la façon d’utiliser l’avenir – pour la préparation et la planification – c’est une réflexion fermée.

Il n’y a que rarement la possibilité offerte d’imaginer d’autres conceptions de l’avenir.

La réflexion prospective classique perpétue l’influence du passé sur le présent pour ne pas échapper à des mentalités qui ont généré, et qui génèrent encore, une pensée hégémonique dans tous les domaines.

Comment poursuivre la réflexion à la recherche d’un meilleur avenir pour les sociétés humaines ? : « Marcher sur deux jambes »

1 – Eviter ou abandonner

Ce que nous nous préparons (contrats à terme éventuels).

Ce que nous essayons de créer (planifier).

2 – Accompagner et adopter

Ce que nous découvrons, révélant ce que nous ne savions pas.

Ce que nous connaissons (création de nouveaux sens).
Inventer « l’inconnaissable »

Riel MILLER engage les membres à acquérir une capacité à distinguer la recherche du choix et à être plus ouverts à la réflexion sur le futur.

La soirée s’est conclue par la présentation des illustrations réalisées et commentées par Michel DIAMENT, tout au long de ces deux rencontres.


NB: Le compte-rendu intégral est réservé aux adhérents

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.